mercredi 21 novembre 2018

Des nouvelles.




Le Strict Maximum vous laisse tranquille avec ce sujet depuis bien trop longtemps. Mais c'est bel et bien terminé aujourd'hui. C'est avec un plaisir évidemment partagé que nous reparlons ce soir de notre chère résidence et plus globalement du programme immobilier SGAF (Saint Gobain - Aluminium Français)


Pourquoi? Parceque nous avons enfin le numéro 14 de la revue Architecture de Lumière de 1966, que cette parution fait la part belle au travail de notre architecte Jacques Beufé -pour ceux qui ne s'en souviendraient pas- et  que du coup nous avons de chouettes photos à vous montrer. En espérant secrètement comme à chaque fois que cela serve à quelqu'un quelque part.




Ne nous dites pas que vous n'y avez pas pensé. Si non c'est normal. Qui se souvient de Catherine Ferry?

On commence avec une vue sur le parc de 11 hectares, même s'il ne s'agit que de la maquette, vous pouvez quand même vous rendre compte de son immensité. Oui Madame, 11.




On se rapproche des immeubles et on apprécie la beauté originelle faite de béton, d'Emalits bleues, d'huisseries en aluminium. C'est ce qu'on nomme le bon vieux temps.
On apprend que le choix des teintes des Emalits de Saint Gobain a été confié à Max Ingrand, maitre verrier et décorateur français des plus réputés d'après-guerre.



Et y'a quoi là dedans?
Pour le savoir, attardons nous sur un plan d'étage, composé d'un F5 et d'un F3. 




Si pour vous la lecture du plan n'est pas claire ou si vous mourez d'envie de voir ce que ça donne en "vrai", la revue nous propose cette vue 3D d'un appartement type F5. Cette cellule est scindée en deux zones distinctes, une "vie collective, vie de jour " et une "vie intime, vie de nuit". A noter que rien ne vous empêche cependant de lire dans votre chambre en plein après-midi accompagné de votre voisin,  veillez simplement à ce que cela ne s'ébruite pas.




Nous découvrons dans ce numéro que certains intérieurs ne sont pas équipés de portes coulissantes plaquées teck comme le nôtre mais en verre trempé, Saint-Gobain oblige.
Notons également les deux chambres qui peuvent être réunies en un seul et même espace de jeux.




La revue regorge de photos illustrants les différentes étapes de la fabrication des immeubles et de leurs intérieurs mais finalement, nous vous en avons déjà montré assez.
Tout juste concéderons nous à terminer ce tour par un drink dans le couloir.




C'est quand même pas du Formica au fond là bas?





2 commentaires:

  1. Bonjour,

    pouvez-vous m'envoyer le numéro 14 de la revue Architecture de Lumière de 1966 avec l'article qui concerne la résidence Aulnay en format PDF?
    Avez-vous un formulaire de contact?

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    1. Bonjour ! Nous le ferons avec plaisir même s'il n'est pas dans un état exceptionnel!
      Adressez nous un mail ici lestrictmaximum@gmail.com :-)

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