mardi 29 juillet 2014

L’Amérique rêve son paradis polynésien.


Une si belle affiche mêlant Amérique et exotisme ne pouvait que pousser le Strict Maximum aux portes du musée du quai Branly:


"Tiki Pop", c'est 400 objets provenant essentiellement de collections privées ainsi que la reconstitution d'un bar Tiki. Mais aussi de l'Histoire! En partant des origines, l’exposition retrace le parcours de ce rêve américain: découverte des îles du Pacifique par les explorateurs, enrichissement du rêve par les écrivains et les artistes, évolution de la culture de divertissement et d’évasion au 20e siècle...



Il n'y a pas de serveurs, ne perdez pas votre temps au bar.




Comment, dans les années 60, l’ancestral et mythique dieu Tiki devint la divinité américaine des loisirs? Pourquoi l'américain fantasma sur les îles des Mers du Sud? Les réponses sont au quai Branly. Le Strict Maximum vous quitte sur la parenthèse "déco" de l'exposition:
"Mid-Century Modern" désigne une esthétique qui connut son apogée dans les années 50. Réponse américaine au style international européen et au Bauhaus, le style moderne et la simplicité organique du design scandinave pour créer des espaces ouverts et clairs, associés à des touches naturelles (à ce moment rien ne vous empêche d'avoir une pensée pour l'appartement du Strict Maximum)

Le design contemporain mêla la stylisation moderniste et l'ingénuité primitive, et c'est l'association de ces contradictions qui donna naissance pour une grande part au style Tiki américain"






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